C'est la limite pour David Lynch - pas de grossièretés pendant l'enregistrement

Le regretté maître pouvait se montrer morbide dans ses films, mais il avait ses principes et un côté plus doux caché.

À la mémoire deDavid Lynch, décédé tragiquement la semaine dernière, il est bien sûr toujours intéressant de se plonger dans quelques anecdotes sur sa filmographie tordue.

Dans une interview avecVariétéa raconté à Dennis Hopper, qui a travaillé avec David Lynch, entre autres, sur le film visionnaire "Blue Velvet", comment Lynch avait ses règles pour créer la bonne atmosphère pendant l'enregistrement :

- David pourrait être un vrai boy-scout. Il ne prenait jamais de drogue, il méditait et quand il me dirigeait, il refusait de dire « putain », mais le décrivait simplement comme « ce mot ». On pourrait dire qu’il était très différent en privé des films qu’il faisait.

Contraste intéressant qu’on voit parfois dans le monde du cinéma. "Blue Velvet" en particulier est un film très sombre et bizarre, tout comme les autres histoires de Lynch.

Dennis Hopper est malheureusement également décédé en 2010, alors que lui et David Lynch reposent en paix !